Ô belle inconnue, Jeune femme perdue
Sais tu seulement ce que tu sacrifie à ce bel éphèbe ?
Peut être est ce parce que tu penses avoir une âme faible
Mais le cœur a ses raisons que la raison n’a pas.
Pauvre enfant malheureuse !
Ô belle étrangère, jolie bergère
Qui garde les moutons de mon cœur, je t’observe
Et la seule pensée qui me traverse c’est celle me disant à quel point
La Tragédie est un genre qui te sied bien.
Pourqoi tant de peine ?
Pourquoi ne souris tu pas, ma douce amie ?
Pourquoi es tu donc si triste ?
Serait ce l’amour qui t’a blessé, le vilain ?
Ou alors l’amitié qui t’a éprouvé, comme un vile faquin.
T’es tu fait avoir ?
Ô Naive naïade, innocente brebis
J’écoute tes complaintes silencieuses car seul ton cœur crie
J’entends ces mots que tu ne saurais dire
Et les porte en mon sein pour soulager ta peine.
J’aimerai tant t’aider.
Pourquoi ne souris tu pas, ma douce amie ?
La vie est trop courte pour la gâcher ainsi
A chaque moment de peine, penses donc à moi
A ces moments s’ajouteront ceux de joie !
Je m’y attèle donc !
Penses, penses donc ma douce enfant,
Car au final, peut être que tes tourments
Connaitront une fin, et te laisseront vivre
Car au final ma mie, il serait temps de le faire…
Laisse toi donc faire
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